Des poèmes pour la paix
“Nous devons apprendre à vivre ensemble
comme des idiots”...
Martin Luther-King qui
disait que “Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères,
sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots” ... Read more
at: poesis.fr/etre-ou-ne-pas-etre-charlie/ © Poesis
Martin Luther-King qui
disait que “Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères,
sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots”... Read more
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Martin
Luther-King disait
“Nous devons apprendre à vivre ensemble
comme des
frères,
sinon nous allons mourir tous ensemble
comme des idiots”...
LA TOLÉRANCE ÇA
FAIT DES AMIS.
CE QUI EST CONTRE
NATURE
C’EST DE SE BATTRE
C’EST DE SE BATTRE
CONTRE LES DROITS DES AUTRES.
UN HOME QUI PRIVE
AUTRE HOMME
DE SA LIBERTÉ
DE SA LIBERTÉ
EST PRISONNEIR DE LA HAINE,
DES PRÉJUGÉS
DES PRÉJUGÉS
ET DE
L’ÉTROITESSE D’ESPRIT.
Nelson Mandela
Être libre, ce
n’est pas seulement se
débarrasser de ses chaïnes ;
c’est vivre d’une façon
qui respecte et renforce
la liberté des autres. Nelson Mandela
c’est vivre d’une façon
qui respecte et renforce
la liberté des autres. Nelson Mandela
Ce qui empêche
les gens
de vivre ensemble
de vivre ensemble
c’est leur connerie,
pas leurs différances.
pas leurs différances.
Sur mes
cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
Sur toutes
les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les
images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle
et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les
merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes
chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les
champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque
bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la
mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les
formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les
sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe
qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit
coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon
chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le
tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute
chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre
des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes
refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur
l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé
revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le
pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard,
Au rendez-vous allemand, 1945, Les Editions de Minuit
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